DIAG IMPACT Expertises

Conseils d’experts

Le Carnet d’Information du Logement (CIL)

CONSEILS D’EXPERTS Le Carnet d’Information du Logement (CIL) Obligatoire depuis le 1er janvier 2023, le Carnet d’Information du Logement concerne les logements neufs et les logements existants.  Logements neufs : ceux dont le permis de construire ou la déclaration préalable a été déposé(e) depuis le 1er janvier 2023. Logements existants : ceux faisant l’objet de travaux de rénovation ayant une incidence directe sur leur performance.  Attention, le CIL concerne également les logements-foyers, logements de gardien, chambres de services, logements de fonction ou logements inclus dans un bail commercial et locaux meublés mis en location. Certains bâtiments résidentiels sont exclus du dispositif réglementaire et auront plus de temps pour anticiper cette nouveauté. C’est le cas notamment pour les habitations à loyer modéré (HLM). À quoi sert le Carnet d’Information du Logement et quels sont les objectifs de l’État face ce dispositif ? Le carnet d’information du logement sert à centraliser les informations utiles sur les caractéristiques du logement pour faciliter et accompagner les travaux d’amélioration de la performance énergétique du logement ainsi que l’installation d’équipements de contrôle et de gestion active de l’énergie. Le carnet d’information du logement s’inscrit dans la perspective de la transition énergétique et permettra de faciliter l’amélioration de la performance énergétique des logements français. Notons que le « Carnet d’Information du Logement » remplace le carnet numérique du logement qui n’a finalement jamais été mis en place.  Qui doit établir le Carnet d’Information du Logement ? Le CIL est établi par le propriétaire : – du logement neuf à partir des informations transmises par le professionnel qui a réalisé la construction du logement – du logement existant à partir des informations transmises les professionnels ayant pu intervenir pour la réalisation de travaux de rénovation énergétique. Dans le cas de travaux de rénovation, si le professionnel n’a pas transmis les informations au propriétaire, ces dernières peuvent être transmises par l’Agence nationale de l’habitat (Anah) si une aide ou un accompagnement ont été accordés pour réaliser les travaux. Sous quel forme doit être transmis le Carnet d’Information du Logement ? Les informations doivent être transmises au propriétaire dans un format numérique. Pour les logements neufs : au plus tard à la livraison du logement   Pour les logement existants : au plus tard à la réception des travaux Si le propriétaire en fait la demande, ces informations peuvent être transmises dans un autre format. Que contient le Carnet d’Information du Logement ? Pour les logements neufs, le CIL doit comporter les éléments suivants : – Plans de surface et plans de coupes du logement – Plans, schémas et descriptifs des réseaux (eau, électricité, gaz, aération) – Liste et caractéristiques des matériaux utilisés pour l’isolation thermique de la toiture, murs donnant sur l’extérieur, parois vitrées et portes donnant sur l’extérieur, planchers bas, lorsque ces matériaux ont une incidence directe sur la performance énergétique du logement. – Notices de fonctionnement, de maintenance et d’entretien des équipements des systèmes de chauffage ou de refroidissement – Documents permettant d’attester la performance énergétique du logement et de connaître les moyens de l’améliorer lorsqu’ils ont été réalisés.  Diagnostic de performance énergétique (DPE) : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F16096 Document réalisé par le maître de l’ouvrage qui atteste de la prise en compte de la règlementation thermique et environnementale  Attestations de délivrance de labels ou certifications mettant en avant les qualités du logement en matière de performance énergétique  Audit énergétique du logement Pour les logements existants (ayant fait l’objet de travaux de rénovation) le CIL doit comporter les éléments suivants : – Dates et descriptions des travaux réalisés – Liste et caractéristiques des matériaux utilisés lors des travaux d’isolation thermique    – Notices de fonctionnement, de maintenance et d’entretien des équipements (chauffage, ventilation, production d’eau chaude sanitaire, utilisant ou non une source d’énergie renouvelable) ayant une incidence directe sur la performance énergétique du logement. – Documents permettant d’attester la performance énergétique du logement et de connaître les moyens de l’améliorer lorsqu’ils ont été réalisés :  Diagnostic de performance énergétique (DPE) : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F16096 Document réalisé par le maître de l’ouvrage qui atteste de la prise en compte de la règlementation thermique et environnementale  Attestations de délivrance de labels ou certifications mettant en avant les qualités du logement en matière de performance énergétique  Audit énergétique du logement Listes exhaustives des caractéristiques disponibles sur : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F36759 Quand et à qui remettre le Carnet d’Information du Logement ? En cas de vente du logement, le propriétaire doit remettre le CIL à l’acquéreur au plus tard lors de la signature de l’acte authentique.  L’acquéreur doit alors attester qu’on lui ait bien remis le CIL., et cela donne lieu à une attestation qui sera jointe à l’acte authentique. Quand et à qui remettre le Carnet d’Information du Logement ? En cas de vente du logement, le propriétaire doit remettre le CIL à l’acquéreur au plus tard lors de la signature de l’acte authentique.  L’acquéreur doit alors attester qu’on lui ait bien remis le CIL., et cela donne lieu à une attestation qui sera jointe à l’acte authentique. Les avantages du Carnet d’Information du Logement pour les particuliers En résumé, le Carnet d’Information du Logement est un nouvel outil au service de la transition énergétique. C’est un véritable carnet de santé du logement. Il s’agit d’un nouveau dispositif réglementaire permettra aux futurs acquéreurs d’un bien de connaître les travaux qui y ont été réalisés et ceux qui restent à effectuer.  Pour les vendeurs, le CIL constitue un dossier permettant de justifier que le bien immobilier ait bien été entretenu. Grâce au Carnet d’Information du Logement, il est possible de réaliser des économies d’énergie sur le long terme, en connaissant les points forts et les les points faibles du logement.   Pour en savoir plus sur le Carnet d’Information Logement, Bastien Lainé du cabinet DIAG Impact , intervenant sur Challans et sa région en Vendée, se tient à votre disposition.

Le Carnet d’Information du Logement (CIL) Lire la suite »

Quels diagnostics immobiliers pour la location saisonnière ?

CONSEILS D’EXPERTS Quels diagnostics immobiliers pour la location saisonnière ? Toute mise en location d’un bien immobilier, appartement ou maison est soumise à plusieurs règlementations.  Pour commencer, nous pouvons identifier différents types de location :  location longue durée – meublée ou non meublée location courte durée – meublée ou non meublée location saisonnière – meublée Bastien Lainé, professionnel certifié et dirigeant du cabinet DIAG Impact à Challans et intervenant sur la Vendée, nous propose un récapitulatif des informations à retenir en matière de réglementation relative à la location saisonnière.  Tout d’abord, selon le décret n°2017-678, « les meublés de tourisme sont des villas, appartements ou studios meublés, à l’usage exclusif du locataire, offerts en location à une clientèle de passage qui y effectue un séjour caractérisé par une location à la journée , à la semaine ou au mois, et qui n’y élit pas domicile ». Par conséquent, comme pour toute location de biens immobiliers, la location saisonnière est soumise à une liste de diagnostics immobiliers obligatoires. Même s’il s’agit d’une location de courte durée, un certain nombre de diagnostics immobiliers sont à réaliser afin d’assurer la protection du bien et garantir la sécurité des locataires durant leur séjour.  Les diagnostics immobiliers à prévoir sont les suivants : DIAGNOSTICS ÉNERGÉTIQUES : GAZ / ÉLECTRICITÉ De façon générale, le bien mis en location saisonnière doit être meublé et équipé afin de pouvoir proposer un minimum de confort aux vacanciers. Ainsi, il est important de vérifier les équipements mis à disposition, tels que les installations intérieures d’électricité ainsi que les installations intérieures de gaz qui doivent alors faire l’objet d’un diagnostic immobilier. Ces diagnostics portant sur les installations de gaz et d’électricité concernent les installation réalisées depuis plus de 15 ans. DIAGNOSTIC TECHNIQUE PLOMB Dans le cadre d’une location saisonnière, le Diagnostic Plomb, également appelé « Constat de Risque d’Exposition au Plomb » (CREP) doit être remis au locataire si le bien mis en location a été construit avant 1949. Dans le cas où ce diagnostic révèle l’absence de plomb, alors il ne sera pas soumis à renouvellement. ÉTAT DES RISQUES ET POLLUTIONS (ERP) L’état des risques et pollution (ERP) est obligatoire pour tout bien immobilier mis en location et situé dans une commune dite PPR (Plan de prévention des risques). Ce diagnostic a une durée de validité de 6 mois, et est gratuitement disponible en ligne.  DPE Le DPE correspondant au Diagnostic de Performance Énergétique est nécessaire à la location lorsque le cumul du nombre de jours de location est supérieur à 120 jours, ce qui représente environ 4 mois par an. Le DPE a une durée de validité de 10 ans si le bien immobilier n’a subi aucune rénovation. Il est important de respecter la réglementation en vigueur afin de pouvoir profiter pleinement des avantages de la location saisonnière, et ce, en toute sécurité.  Pour les biens immobiliers mis en location saisonnière, les diagnostics doivent être réalisés par un diagnostiqueur immobilier certifié, ayant notamment reçu des formations régulières au cours de son parcours professionnel. Tout diagnostiqueur immobilier doit pouvoir vous présenter des garanties de compétences au moment de son intervention et avoir une organisation et des moyens appropriés.  Vous souhaitez obtenir des informations complémentaires sur les diagnostics immobiliers à réaliser pour vos locations saisonnières ? N’hésitez pas à contacter Bastien Lainé de l’entreprise DIAG Impact , diagnostiqueur certifié en Diagnostic Immobilier  qui peut vous accompagner sur la mise en location de vos biens immobiliers sur le littoral vendéen.

Quels diagnostics immobiliers pour la location saisonnière ? Lire la suite »

Vous vendez, vous louez et votre bien dispose d’une piscine : le diagnostic Piscine est-il obligatoire ?

CONSEILS D’EXPERTS Vous vendez, vous louez et votre bien dispose d’une piscine : le diagnostic Piscine est-il obligatoire ? Il y a quelques années, le gouvernement français a imposé une nouvelle règlementation visant à lutter contre la recrudescence d’accidents dus à des noyades. C’est ainsi que le diagnostic « piscine » est devenu obligatoire et qu’il représente un document essentiel lors de la mise en vente d’un bien immobilier. Bastien Lainé, dirigeant du cabinet Diag Impact à Challans (Vendée – 85), et expert certifié en diagnostic immobilier nous présente ci-après les informations essentielles en matière de réglementation.  Le diagnostic piscine permet de vérifier la conformité des installations afin de pouvoir les utiliser en toute sécurité.  Quelles sont les piscines concernées par ce diagnostic ? Les propriétaires possédant l’une de ces installations sont concernés par le diagnostic piscine :  Les piscines privées en plein air disposant d’un bassin totalement ou partiellement enterré et étant à usage individuel ou collectif.  Les piscines de biens immobiliers proposés en location saisonnière Les spas enterrés  A ce jour, ne sont pas concernées : Les piscine hors-sol  Les piscines gonflables  Les piscines démontables  Les piscines d’intérieur  Quels sont les éléments de sécurité obligatoires ? Pour obtenir un avis positif au diagnostic piscine, il est nécessaire que les normes de sécurité soient conformes, en proposant l’un des dispositifs suivants :  Barrière de protection empêchant l’accès, sans l’aide d’un adulte, aux enfants de moins de 5 ans  Alarme sonore ne pouvant être utilisée ou arrêtée par des enfants de moins de 5 ans  Couverture destinée à empêcher l’immersion involontaire d’une personne  Abri piscine avec fermeture rendant inaccessible l’accès aux enfants de moins de 5 ans Bien entendu, il est possible d’associer plusieurs dispositifs de sécurité. De plus, le dispositif de sécurité piscine doit être homologué Normes Afnor ou CE. Quelles responsabilités et peines encourues en cas de non-respect des règles de sécurité ? Le diagnostiqueur immobilier sollicité pour une telle intervention devra délivrer un document attestant de la bonne conformité ou non de la piscine quant aux normes de sécurité. Le diagnostiqueur devra également prendre en compte l’aspect règlementaire relatif à la sécurité du local piscine.  S’il s’agit d’une construction récente – après le 1er janvier 2004, il est important de préciser que l’installation du dispositif de sécurité est de la responsabilité du constructeur. S’il s’agit d’une résidence multipropriétaires, c’est au syndic de copropriété de prendre toutes les mesures légales qui s’imposent et bien sûr de réaliser tous les travaux nécessaires. Attention, en cas de non-respect des normes de sécurité, le propriétaire du bien immobilier concerné, encoure une amende  de 45 000 euros et des sanctions pénales. Vous souhaitez obtenir des informations complémentaires sur le Diagnostic « Piscine » pour votre bien immobilier, n’hésitez pas à solliciter Bastien Lainé du cabinet Diag Impact, situé à Challans – 07 87 84 65 33.

Vous vendez, vous louez et votre bien dispose d’une piscine : le diagnostic Piscine est-il obligatoire ? Lire la suite »

Diagnostic Technique Global (DTG) et Plan Pluriannuel de Travaux (PPT) : quelles réglementation ?

CONSEILS D’EXPERTS Diagnostic Technique Global (DTG) et Plan Pluriannuel de Travaux (PPT) : quelles réglementation ? Le Diagnostic Technique Global, communément appelé « DTG » permet d’informer toute copropriété de l’état et de la situation générale de l’immeuble concerné.Et cela, dans le but de pouvoir envisager des travaux, via notamment un Plan Pluriannuel de Travaux (PPT). Bastien Lainé, du cabinet Diag Impact nous propose un focus sur ces thématiques afin de pouvoir identifier ce qui est obligatoire et les situations devant être simplement soumises à l’accord des copropriétaires. Qu’est-ce qu’un diagnostic technique global (DTG) ? Afin de lutter contre les copropriétés dégradées, qui sont de plus en plus nombreuses, la loi ALUR 2014 a mis en place le Diagnostic Technique Global (DTG) afin de pouvoir informer les propriétaires de l’état général de leur immeuble et de faire état des potentiels travaux à réaliser au cours des 10 prochaines années afin d’assurer un maintien en bon état. Le diagnostic technique global (DTG) est-il obligatoire ? Le DTG est obligatoire dans certains cas seulement : pour les immeubles construits de plus de 10 ans et dont la mise en copropriété est programmée (exemple : division en appartements d’une grosse maison) pour les immeubles soumis à une procédure d’insalubrité et pour lesquels ce diagnostic est alors demandé par l’administration française. Cependant depuis 2017, toutes les copropriétés ont au moins l’obligation de voter pour déterminer si le Diagnostic Technique Global (DTG) doit être effectué ou non. Ce vote se fait à la majorité des voix exprimées par les copropriétaires directement présents ou représentés lors de l’assemblée générale (AG). Qui peut réaliser le DTG ? Le DTG doit être réalisé par un professionnel (personne physique ou morale) expert certifié et assuré, possédant les diplômes, formations et compétences exigées par la loi, tel que Bastien Lainé, Dirigeant du cabinet Diag Impact, à Challans. Quelles informations doit comporter le DTG ? Le DTG doit comprendre un certain nombre d’éléments : une analyse de l’état extérieur des parties et des équipements communs Un état des obligations légales et réglementaires auxquelles est tenu le syndicat des copropriétaires Une analyse des améliorations possibles de la gestion de l’immeuble, que ce soit dans sa dimension technique ou patrimoniale (son état) Un diagnostic de performance énergétique (DPE) ou un audit énergétique de l’immeuble, différent du DPE réalisé pour votre logement et présent dans votre dossier de diagnostic technique (DTT) Une estimation du coût, ainsi que la liste des travaux nécessaires pour permettre la bonne conservation et l’entretien de l’immeuble, pour les 10 prochaines années. L’ensemble de ces éléments doivent être présentés aux copropriétaires lors de la future assemblée générale. Si ce DTG indique que des travaux sont indispensables à la bonne conservation de l’immeuble, le syndic de la copropriété doit alors inscrire à l’ordre du jour de l’AG la question de l’élaboration d’un plan pluriannuel de travaux, ainsi que la question des conditions de sa réalisation. En réalisant un plan pluriannuel de travaux, la copropriété peut ainsi davantage maîtriser ses coûts et valoriser le bien concerné.  De plus, dans le cadre de la loi Climat et Résilience, le Plan Pluriannuel de Travaux (PPT) devient obligatoire pour les copropriétés de plus de 15 ans.  Le PPT a pour objectif d’anticiper et de planifier les travaux dans les parties communes et les dépenses liées à ces derniers. Il répond à trois enjeux principaux : la conservation du bâtiment la protection de ses habitants la rénovation énergétique Qu’est-ce que le Plan Pluriannuel de Travaux (PPT) ? Le plan pluriannuel de travaux (PPT) est un planning détaillé des travaux collectifs à mener au sein d’une copropriété, et doit être actualisé tous les 10 ans. Il vise à garantir la sauvegarde de l’immeuble, l’entretien des parties collectives et des équipements communs, tout en contribuant à l’amélioration de l’efficacité énergétique. Le PPT comporte les éléments suivants : L’inventaire des travaux destinés à rénover l’immeuble et leur classification par ordre de priorité La prévision des performances attendues suite à la réalisation des travaux contenus dans le PPT Le coût des travaux, selon une évaluation approximative La planification des travaux à entreprendre sur les 10 années à venir L’élaboration du « Projet d’un Plan Pluriannuel de Travaux » alors appelé « PPPT » découle : D’une analyse préalable du bâti et des équipements de l’immeuble – analyse devant être associée à un Diagnostic de Performance Énergétique collectif (DPE) Du Diagnostic Technique Global (DTG) lorsqu’il est obligatoire et d’un audit énergétique (pour la mise en copropriété d’immeubles de plus de 10 ans et pour ceux ayant fait l’objet d’une procédure d’insalubrité sur demande du syndic). Le PPT en copropriété est-il obligatoire ? D’abord retiré de la réforme du droit de la copropriété de 2019, le plan pluriannuel de travaux réintègre finalement le paysage législatif avec la publication au Journal officiel de la loi Climat et Résilience en date du 24 août 2021. Dans le cadre de la transition énergétique, la loi prévoit plusieurs mesures destinées à « faire entrer l’écologie dans nos vies », et jusque dans les immeubles. Dorénavant, le syndicat des copropriétaires aura l’obligation d’élaborer un projet de plan pluriannuel de travaux si le bâtiment a plus de 15 ans. Cette obligation entrera progressivement en vigueur, en fonction du nombre de lots, qu’ils soient résidentiels ou à usage professionnel ou commercial : Le 1er janvier 2023 pour les copropriétés de plus de 200 lots Le 1er janvier 2024 pour celles comptant entre 51 et 200 lots Le 1er janvier 2025 pour les copropriétés de 50 lots ou moins Vous souhaitez obtenir des informations complémentaires sur le DTG et le Plan Pluriannuel de Travaux (PPT), n’hésitez pas à solliciter Bastien Lainé du cabinet Diag Impact, situé à Challans – 07 87 84 65 33.

Diagnostic Technique Global (DTG) et Plan Pluriannuel de Travaux (PPT) : quelles réglementation ? Lire la suite »

LE DPE PROJETÉ, une alternative à l’audit énergétique ?

CONSEILS D’EXPERTS LE DPE PROJETÉ, une alternative à l’audit énergétique ? Qu’est-ce que le DPE Projeté ? Le DPE projeté est un diagnostic qui va mesurer, en prévision de travaux de rénovation, la performance énergétique d’un logement après que ces derniers aient été réalisés. En effet, on qualifie alors ce Diagnostic de Performance Énergétique comme « projeté », car il permet de proposer une projection de la consommation énergétique future du bien concerné. Le chauffage, la climatisation/le refroidissement et la production d’eau chaude sanitaire sont autant d’éléments qui vont alors être pris en compte dans les calculs. En résumé, le DPE projeté vise essentiellement à obtenir une confortation ou une validation des rénovations effectuées dans un bien immobilier pour ensuite mesurer le retour sur investissement en termes d’efficacité énergétique. Cependant, il ne s’agit que d’une simple estimation ou projection. Pourquoi réaliser un DPE Projeté ? Lancé depuis le 1er janvier 2020, la réalisation d’un DPE projeté est obligatoire pour l’obtention d’un Prêt à Taux Zéro (PTZ). Cette mesure concerne les biens immobiliers étiquetés F ou G à l’issue d’un DPE classique. Ces logements que l’on qualifie de « passoires énergétiques » font l’objet de nouvelles mesures ciblées par la Loi Climat et Résilience. Afin de les rénover, de coûteux travaux sont parfois nécessaires. C’est pourquoi, il est possible de souscrire à un Prêt à Taux Zéro (PTZ), sous condition de validation du dossier par le dépôt d’un DPE « avant travaux », auquel sera annexé un DPE « projeté » – sous réserve que ces travaux permettent, a minima, d’optimiser la classe énergétique du logement pour arriver en classe “E”. Quelle est la différence entre un DPE Projeté et un audit énergétique ? Obligatoire à compter du 1er avril 2023, l’audit énergétique réglementaire devra être réalisé avant la mise en vente de maisons ou d’immeubles en mono-propriété classés F ou G au Diagnostic de Performance Énergétique (DPE). Il propose différents scénarios de travaux de rénovation pour améliorer l’efficacité énergétique du logement – bien que les travaux préconisés, eux, ne soient pas obligatoires pour conclure la vente. L’audit énergétique réglementaire représente donc une véritable base en vue de travaux de rénovation ambitieux. Il dresse un état des lieux complet du profil énergétique de l’habitat et de son potentiel, et il préconise une série de mesures adaptatives. L’audit énergétique peut représenter un coût important, mais il est possible de réduire cet investissement en bénéficiant d’une subvention à la rénovation énergétique. Le DPE projeté, quant à lui, permet d’identifier la consommation d’énergie post-travaux, en se basant lui aussi, sur un DPE « avant travaux » établi en amont. Différentes situations peuvent alors se présenter : – La première possibilité est basée sur un projet existant. L’analyse est réalisée sur les modifications que souhaite apporter un propriétaire en fonction de son bien. Cette estimation est simulée à partir des devis communiqués par le donneur d’ordre.  – La seconde possibilité est une recommandation par le diagnostiqueur afin d’atteindre une notation satisfaisante. Dans ce cas, 2 ou 3 “packs travaux” seront alors conseillés. Ces packs peuvent se cumuler et viennent s’ajouter afin d’obtenir progressivement la notation souhaitée. Les packs travaux peuvent être, par exemple, un changement de menuiserie, unchangement de VMC, une isolation des combles et une isolation par l’extérieur, unchangement de chaudière, des changements de radiateurs, etc. Quelles sont les démarches pour réaliser un DPE Projeté ou un Audit Énergétique ? Que ce soit pour un DPE Projeté ou un Audit énergétique, tout particulier souhaitant entamer une démarche de rénovation énergétique devra se tourner vers un diagnostiqueur certifié par l’ADEME. En effet, son certificat devra être intégré au dossier en cas de demande de prêt et ou de subventions. Quelles spécificités pour l’audit règlementaire ? En complément au DPE, l’audit règlementaire vise à permettre aux acquéreurs de ces logements fortement consommateurs d’énergie de bénéficier de la présentation de scénarios de travaux pour améliorer leurs performances énergétique et environnementale. Cet audit vous propose plusieurs scénarios de travaux vous permettant d’atteindre une performance énergétique et environnementale de classe A ou B – sauf exceptions liées à des contraintes architecturales, techniques ou patrimoniales. L’audit règlementaire se base sur l’étude de 6 postes :-L’isolation des murs-Les planchers bas-La toiture-Le remplacement des menuiseries extérieures-La ventilation-La production de chauffage et d’eau chaude sanitaire Le coût des travaux préconisés se basent sur une étude et des éléments proposés par l’ADEME. Cette étude repose sur les données représentatives du marché de la rénovation énergétique. La loi Climat et Résilience du 22 août 2021 n’oblige pas les professionnels (diagnostiqueurs et auditeurs) à fournir des devis réalisés par des artisans locaux. L’audit règlementaire est effectué conformément aux modalités prévues dans l’arrêt définissant le contenu de l’audit énergétique réglementaire prévu par l’article L. 126-28-1 du Code de la construction et de l’habitation et applicable en France métropolitaine. Le logiciel LICIEL établissant ce calcul énergétique nécessaire à la réalisation de l’audit est validé dans les conditions prévues à l’article 3 de l’arrêt du 31 mars 2021. Les coûts proposés ne tiennent pas compte des éventuelles variations économiques. Il s’agit d’une estimation tarifaire réalisée en date de l’audit réglementaire. Il est important de préciser que les travaux d’ITI entrainent une modification du volume chauffé (SHAB et la HSP). Pour toute information complémentaire, vous pouvez solliciter DIAG IMPACT pour l’étude,l’accompagnement et la réalisation de votre DPE Projeté ou Audit Énergétique !

LE DPE PROJETÉ, une alternative à l’audit énergétique ? Lire la suite »

Découvrez Bastien Lainé, dirigeant de Diag Impact

CONSEILS D’EXPERTS DÉCOUVREZ BASTIEN LAINÉ Présentation de Bastien Lainé, Dirigeant de DIAG IMPACT Bastien Lainé, Dirigeant fondateur du cabinet DIAG IMPACT à Challans, en Vendée (85) se livre sur son parcours professionnel, son expérience, ses ambitions pour ce lancement d’activité et les différents services proposés dans le cadre de transactions immobilières.  En effet, en situation de mise en vente ou mise en location d’un bien immobilier, une réglementation s’applique en matière de Diagnostic Immobilier. Ces diagnostics ont pour but de sécuriser le bien et les personnes occupant ou acquérant un logement. C’est pourquoi, selon le diagnostic réalisé, une durée de validité est appliquée et doit être respectée sous réserve de retard ou de sanctions. C’est ainsi que Bastien Lainé, diagnostiqueur expert et certifié, propose ses services en matière deDiagnostics Immobiliers et d’Audit Énergétique afin de permettre toute transaction de façon sereine. Retour sur le parcours de Bastien Lainé, Dirigeant Fondateur de DIAG IMPACT : Issu d’un parcours de formation professionnelle en électrotechnique, Bastien a débuté par une première expérience d’électrotechnicien dans le domaine du bâtiment et de l’industrie. Il poursuit ensuite comme dessinateur Bureau d’Étude en bâtiment et architecture. Ce qui lui permet alors de développer ses connaissances dans ce domaine, et de mettre à profit sa rigueur et son sens de la précision. Il s’oriente par la suite vers le domaine de la sécurité incendie des bâtiments en tant que Technicien Bureau d’études et Référent Technique APSAD I7/F7 des systèmes de sécurité incendie.  Fort de cette expérience, Bastien a souhaité regrouper ses domaines de compétences afin de les mettre au service de la transition énergétique. C’est donc assez naturellement, qu’il s’est orienté vers une formation professionnalisante en Diagnostic Immobilier et Audit Énergétique afin de pouvoir accompagner les particuliers et les professionnels devant répondre à certaines obligations imposéespar la loi Climat et résilience. Le Diagnostic Immobilier – un secteur en évolution avec une forte règlementation Le Diagnostic Immobilier est devenu une profession à part entière depuis maintenant 15 ans et laisse même place à certaines spécificités tel que l’Audit Énergétique. Disposant de compétences dans le domaine de l’électricité, de la climatisation, de l’isolation ITI, mais également de la lecture de plans d’architecte, tout en profitant d’une expérience de plusieurs années dans la sécurité incendie et le contrôle technique réglementaire des bâtiments, Bastien s’est tourné naturellement vers le monde du Diagnostic Immobilier. C’est un secteur en perpétuelle mouvance avec une forte réglementation évolutive, qui nécessite une veille constante afin d’adapter ses pratiques. L’entrepreneuriat – une nouvelle aventure ! Cette spécialisation, était un souhait mûrement réfléchi et pensé depuis 10 ans avant de voir le jour concrètement en octobre 2022. L’entrepreneuriat peut générer quelques doutes, mais l’indépendance, l’impartialité requise dans les missions menées, le challenge de développer un portefeuille clients la nécessité de mettre à contribution connaissances et compétences professionnelles pour prouver la qualité du conseil, des interventions, représentaient des arguments plus convaincants. L’objectif de Bastien est de développer l’activité de DIAG IMPACT pour en faire un acteur de qualité, digne de confiance et de renommée régionale sur Challans et la Vendée (85). Une entreprise, un homme, des valeurs ! On dit qu’une entreprise est à l’image de son Dirigeant, et jusqu’ici c’est plutôt rassurant, lorsque l’on sait que les valeurs reconnues pour DIAG IMPACT sont la qualité du travail réalisé avec minutie et précision, le respect du client avec le conseil et la pédagogie nécessaires, l’engagement personnel et professionnel de Bastien dans la transition énergétique. Si vous souhaitez confier la réalisation de diagnostics immobiliers à un expert certifié et spécialisédans ce domaine sur Challans et sa région, n’hésitez pas à contacter Bastien !

Découvrez Bastien Lainé, dirigeant de Diag Impact Lire la suite »